Dans la chronique détaillée de l’anthologie que j’ai postée, je m’étais promis de rédiger un commentaire général. En effet, j’ai eu l’occasion de lire ce genre d’avis dans les autres critiques de ce même livre et je suis curieuse de voir comment je m’en sortirais.
Tout d’abord, je tiens à préciser que ma critique sera davantage un avis de lecture plutôt qu’un décorticage en règle de « Mystères et mauvais genres ». Déjà, parce que comme je préfère lire des fanzines, je ne suis pas très familières avec le travail des anthologistes (sur ce projet, ce rôle a été assurée par Elie Draco). Et ensuite, parce que je m’attache davantage à la qualité de chacune des nouvelles plutôt qu’à la vue d’ensemble.
Pour commencer, la réalisation graphique de la couverture ne m’a emballée plus que ça. Certes elle est jolie et l’idée de proposer un vote pour départager trois illustrations était une très bonne idée, mais je ne trouve pas que la qualité du dessin donne très envie de l’acheter. En plus, la finesse du matériau utilisé pour ladite couverture la rend très fragile et supportant mal les transports en sac.
Par contre, je reconnais qu’un vrai soin a été apporté à l’intérieur. Le papier est de bonne qualité, les coquilles rarissimes et l’emploi de puce en forme de loupe au lieu des traditionnelles étoiles collait bien avec le thème de l’anthologie.
L’idée de diviser l’ouvrage en trois parties ne m’a pas semblé être très pertinente. En effet, je n’aime pas savoir par avance dans quel univers je vais être plongée. Peu m’importent la science-fiction, la fantasy ou le fantastique, tant que l’auteur pose un décor dans lequel je me retrouve.
Du coup, la première partie, que son titre « Quand l’inconnu s’invite dans le quotidien… » étiquette comme un mini-recueil de fantastique, ne m’a pas procurée la surprise d’un texte que l’on pense réaliste et qui bascule vers les mondes imaginaires.
Pour « En quête de vérité… », on comprend tout de suite qu’il va s’agir d’histoires plus typées « polar ». Cependant, le mélange de textes des genres différents m’a enfin apporté le plaisir de la découverte que j’attendais. A chaque nouvelle histoire, j’ai essayé de deviner dans quel univers se positionnait l’auteur et je me suis souvent laissée bluffée.
Quant à la troisième partie, son titre, « Ces témoignages qui font l’histoire… », pourrait laisser croire à des nouvelles historiques. Pourtant, elle se compose pour moitié de textes fantastiques qui auraient eu leur place dans la première partie de l’anthologie. J’ai beau chercher, je ne comprends toujours pas quelle est la logique sous-jacentes à ce mélange textes fantastique et réalistes.
Il n’en reste pas moins que cette anthologie a été un agréable moment de lecture. Il suffit de lire mes commentaires détaillés sur chacune de nouvelles pour s’en convaincre. Je n’aurais jamais passé autant de temps à les rédiger si je n’avais pas aimé ce livre.
Bien entendu, cela reste de la toute petite édition associative. Néanmoins, « Mystères et mauvais genres » est quand même disponible sur le site de la Fnac, avec une belle étiquette de « Coup de cœur Vendeur » et quelques avis de lecture.
Tout d’abord, je tiens à préciser que ma critique sera davantage un avis de lecture plutôt qu’un décorticage en règle de « Mystères et mauvais genres ». Déjà, parce que comme je préfère lire des fanzines, je ne suis pas très familières avec le travail des anthologistes (sur ce projet, ce rôle a été assurée par Elie Draco). Et ensuite, parce que je m’attache davantage à la qualité de chacune des nouvelles plutôt qu’à la vue d’ensemble.
Pour commencer, la réalisation graphique de la couverture ne m’a emballée plus que ça. Certes elle est jolie et l’idée de proposer un vote pour départager trois illustrations était une très bonne idée, mais je ne trouve pas que la qualité du dessin donne très envie de l’acheter. En plus, la finesse du matériau utilisé pour ladite couverture la rend très fragile et supportant mal les transports en sac.
Par contre, je reconnais qu’un vrai soin a été apporté à l’intérieur. Le papier est de bonne qualité, les coquilles rarissimes et l’emploi de puce en forme de loupe au lieu des traditionnelles étoiles collait bien avec le thème de l’anthologie.
L’idée de diviser l’ouvrage en trois parties ne m’a pas semblé être très pertinente. En effet, je n’aime pas savoir par avance dans quel univers je vais être plongée. Peu m’importent la science-fiction, la fantasy ou le fantastique, tant que l’auteur pose un décor dans lequel je me retrouve.
Du coup, la première partie, que son titre « Quand l’inconnu s’invite dans le quotidien… » étiquette comme un mini-recueil de fantastique, ne m’a pas procurée la surprise d’un texte que l’on pense réaliste et qui bascule vers les mondes imaginaires.
Pour « En quête de vérité… », on comprend tout de suite qu’il va s’agir d’histoires plus typées « polar ». Cependant, le mélange de textes des genres différents m’a enfin apporté le plaisir de la découverte que j’attendais. A chaque nouvelle histoire, j’ai essayé de deviner dans quel univers se positionnait l’auteur et je me suis souvent laissée bluffée.
Quant à la troisième partie, son titre, « Ces témoignages qui font l’histoire… », pourrait laisser croire à des nouvelles historiques. Pourtant, elle se compose pour moitié de textes fantastiques qui auraient eu leur place dans la première partie de l’anthologie. J’ai beau chercher, je ne comprends toujours pas quelle est la logique sous-jacentes à ce mélange textes fantastique et réalistes.
Il n’en reste pas moins que cette anthologie a été un agréable moment de lecture. Il suffit de lire mes commentaires détaillés sur chacune de nouvelles pour s’en convaincre. Je n’aurais jamais passé autant de temps à les rédiger si je n’avais pas aimé ce livre.
Bien entendu, cela reste de la toute petite édition associative. Néanmoins, « Mystères et mauvais genres » est quand même disponible sur le site de la Fnac, avec une belle étiquette de « Coup de cœur Vendeur » et quelques avis de lecture.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire