En général, je calcule toujours l’avancée de Limonade à partir du chapitre en cours (actuellement, le chapitre 8). Pourtant, avec la fin du chapitre 6, j’ai découvert que j’avais atteint de premier quart du roman. Eh oui, je n’écris pas (seulement) à l’instinct ! Derrière mes chapitres, il y a des tas de choses comme un plan général de l’intrigue, des fiches/listes de personnages et même un synopsis détaillé.
Lorsque je sais dans quelle direction je vais, c’est plus facile de ne pas se perdre dans des détails pour les parties importantes, ou au contraire de savoir quand délayer sur les moments plus tranquilles. J’ai lu une (très bonne) explication du phénomène sur un blog où l’auteur parlait de « syndrome du Nutella ». Ca devait être celui de Paul (Tonton) Beorn, si mes souvenirs sont exacts.
Donc tout ça pour dire qu’il n’y a pas à s’inquiéter, Limonade ne va pas virer « roman à rallonge ». Une vraie intrigue, avec tous les rebondissements qui vont bien, se profile à l’horizon 2012. Promis, je finirai Limonade avant la fin du monde, ça serait idiot de laisser le suspens dans de telles circonstances.
vendredi 13 août 2010
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